Poursuite des discussions au sommet international sur la biodiversité à Rome
EN BREF
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Le sommet international sur la biodiversitĂ© se poursuit Ă Rome, après des dĂ©bats intenses lors de la 16ème confĂ©rence de l’ONU Ă Cali, en Colombie. Ce rassemblement, qui implique près de 200 pays, vise Ă conclure des accords cruciaux concernant le financement et la mise en Ĺ“uvre de l’accord de Kunming-MontrĂ©al sur la biodiversitĂ©. Alors que des avancĂ©es significatives ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es, de nombreux dĂ©fis demeurent, et les discussions Ă Rome pourraient dĂ©terminer l’avenir de la protection des espèces et de la sauvegarde des Ă©cosystèmes dans le monde entier.
Le sommet mondial sur la biodiversité se poursuit à Rome
Le 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversitĂ© s’est dĂ©roulĂ© en octobre dernier Ă Cali, en Colombie, rĂ©unissant près de 200 pays pour discuter des enjeux majeurs liĂ©s au financement et Ă la mise en Ĺ“uvre de l’historique accord de Kunming-MontrĂ©al. Bien que des discussions enrichissantes aient eu lieu et des avancĂ©es notables aient Ă©tĂ© signalĂ©es, un accord dĂ©finitif n’a pas pu ĂŞtre conclus Ă Cali. Ainsi, la confĂ©rence va se poursuivre Ă Rome, un rendez-vous crucial prĂ©vu Ă la fin du mois de fĂ©vrier, visant Ă Ă©tablir les engagements nĂ©cessaires pour protĂ©ger la biodiversitĂ© d’ici Ă 2030.
Cette rĂ©union est d’une importance capitale, car elle doit aborder la question de la mobilisation des ressources financières nĂ©cessaires. Les estimations indiquent qu’environ 200 milliards de dollars par an seront requis pour contrer la perte de biodiversitĂ©. Lors de la prĂ©cĂ©dente COP15 Ă MontrĂ©al, les pays dĂ©veloppĂ©s se sont engagĂ©s Ă fournir 20 milliards de dollars par an jusqu’en 2030, suivis de 30 milliards par an par la suite, mais la concrĂ©tisation de ces engagements reste un dĂ©fi. En parallèle, la mise en Ĺ“uvre efficace de ces fonds et leur gestion devront Ă©galement ĂŞtre discutĂ©es, afin d’assurer une distribution juste et efficace des ressources. Cette session de suivi Ă Rome reprĂ©sentera une opportunitĂ© essentielle d’avancer sur ces enjeux critiques et de garantir que des dĂ©cisions concrètes soient prises pour la conservation de la nature.
Le sommet de Rome : une nouvelle chance de s’accorder sur le financement de la conservation de la nature ?
Le sommet de Rome, prĂ©vu du 25 au 27 fĂ©vrier, reprĂ©sente une opportunitĂ© cruciale pour que les pays signataires de la Convention sur la biodiversitĂ© parviennent enfin Ă un accord sur le financement nĂ©cessaire pour prĂ©server notre planète. Lors de la dernière confĂ©rence Ă Cali, bien que des discussions essentielles aient Ă©tĂ© engagĂ©es, aucun consensus n’a Ă©tĂ© atteint concernant les modalitĂ©s de financement de l’accord de Kunming-MontrĂ©al. Environ 200 milliards de dollars par an sont jugĂ©s nĂ©cessaires d’ici 2030 pour enrayer la perte de biodiversitĂ© mondiale. La promesse des pays dĂ©veloppĂ©s de fournir 20 milliards de dollars par an jusqu’en 2030 constitue un pas en avant, mais reste insuffisante par rapport aux besoins estimĂ©s.
La gestion de ces fonds est tout aussi primordiale. Les discussions à Rome devront également porter sur les mécanismes à mettre en place pour assurer une distribution efficace et équitable de l’argent, garantissant qu’il atteigne les initiatives locales réellement engagées dans la protection de la biodiversité. De plus, un autre aspect fondamental abordé au sommet sera la mise en œuvre de la suppression des subventions nuisibles qui, selon des études, pourraient représenter jusqu’à 500 milliards de dollars par an, aggravant la crise de la biodiversité. L’absence de progrès à ce sujet depuis les précédentes conférences soulève des inquiétudes quant à la volonté politique des pays concernés et leur capacité à agir de manière concertée.
Pour donner une perspective diffĂ©rente, il est essentiel de considĂ©rer l’implication des communautĂ©s locales et des peuples autochtones dans ces nĂ©gociations. Leur savoir-faire et leur lien avec la terre pourraient offrir des solutions innovantes et durables pour la conservation. Ainsi, un dialogue inclusif pourrait non seulement renforcer la lĂ©gitimitĂ© des dĂ©cisions prises mais aussi garantir que les initiatives de conservation rĂ©pondent vĂ©ritablement aux besoins des Ă©cosystèmes locaux. Les initiatives citoyennes, telles que cette action menĂ©e par les jeunes, dĂ©montrent Ă©galement Ă quel point la sensibilisation et l’engagement communautaire sont cruciaux pour soutenir les efforts de financement et de mise en Ĺ“uvre de stratĂ©gies efficaces de prĂ©servation de la biodiversitĂ©.
Le sommet mondial sur la biodiversité se poursuit à Rome
Vers un accord crucial sur le financement de la biodiversité
Le 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversitĂ©, qui s’est dĂ©roulĂ© en octobre Ă Cali, en Colombie, a rassemblĂ© près de 200 pays pour dĂ©battre de l’historique accord de Kunming-MontrĂ©al. MalgrĂ© des avancĂ©es notables, aucune conclusion dĂ©finitive n’a Ă©tĂ© atteinte. Ainsi, une nouvelle confĂ©rence aura lieu Ă Rome, du 25 au 27 fĂ©vrier, avec l’espoir de dĂ©finir enfin les modalitĂ©s de financement nĂ©cessaires pour prĂ©server notre biodiversitĂ©.
Les discussions de Rome ne porteront pas seulement sur l’engagement financier, mais également sur la mise en place de mécanismes de suivi et de gestion des fonds. Des financements à hauteur de 200 milliards de dollars par an sont jugés nécessaires d’ici 2030 pour combattre la perte de biodiversité, et les pays développés ont convenu de contribuer 20 milliards par an jusqu’en 2030.
- Mobilisation des ressources : Les participants devront travailler ensemble pour Ă©tablir un cadre financier efficace.
- Suppression des subventions néfastes : Des politiques claires doivent être mises en œuvre pour éliminer progressivement les incitations financières détruisant la biodiversité.
- Participation des communautés locales : Incorporer les voix autochtones dans le processus décisionnel est essentiel pour des solutions durables.
- Gestion des fonds : Élaborer un plan sur la manière dont les ressources seront allouées et surveillées pour garantir leur impact.
Les résultats de cette réunion seront décisifs pour l’avenir de la biodiversité mondiale, compte tenu du temps qui s’écoule rapidement vers les objectifs fixés pour 2030. Il est important d’explorer à la fois les enjeux financiers et les politiques nécessaires pour garantir un avenir durable pour notre planète.
Le sommet mondial sur la biodiversité se poursuit à Rome
Le 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversitĂ© s’est tenu en octobre dernier Ă Cali, en Colombie. Il a rassemblĂ© près de 200 pays pour discuter du financement et de la mise en Ĺ“uvre de l’historique accord de Kunming-MontrĂ©al. Bien que des progrès aient Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s, le sommet de Cali n’a pas abouti Ă un accord final. La confĂ©rence se poursuivra donc Ă Rome Ă la fin du mois de fĂ©vrier, un rendez-vous crucial pour assurer le financement et les engagements nĂ©cessaires d’ici Ă 2030.
Du 21 octobre au 1er novembre 2024, Cali a Ă©tĂ© le point central pour les signataires de la Convention des Nations unies sur la diversitĂ© biologique. Les attentes Ă©taient Ă©levĂ©es alors que les pays cherchaient Ă mobiliser des ressources financières supplĂ©mentaires pour atteindre les objectifs de l’accord d’ici Ă 2030. Les discussions ont cependant Ă©chouĂ© Ă dĂ©finir clairement qui serait responsable du financement et de sa gestion.
Bien que Cali n’ait pas abouti Ă un consensus, la confĂ©rence a tout de mĂŞme permis d’établir des types d’accords essentiels, tels que :
- Incitation à une participation plus organisée des peuples autochtones et des communautés locales.
- Mise en place de procédures claires pour identifier les zones marines à protéger.
- Lancement du Fonds Cali qui incite les entreprises Ă payer pour l’utilisation des ressources gĂ©nĂ©tiques de la nature.
Le sommet de Rome : une nouvelle chance de s’accorder sur le financement de la conservation de la nature ?
La session de suivi Ă Rome, prĂ©vue du 25 au 27 fĂ©vrier, vise Ă permettre aux nĂ©gociations de progresser, avec comme objectif primordial la mobilisation de fonds nĂ©cessaires pour contrer la perte de biodiversitĂ© mondiale. Selon les estimations, 200 milliards de dollars par an sont requis d’ici 2030, alors que des promesses passĂ©es de financements ne sont pas encore respectĂ©es.
Un autre point crucial sera le retrait gradual des subventions nuisibles à la biodiversité, un objectif encore largement non atteint. Ces décisions seront déterminantes pour établir une voie claire vers la conservation de notre environnement.
Quel est le rĂ´le de la Belgique ?
La Belgique, bien qu’elle ait ratifiĂ© la Convention sur la biodiversitĂ©, est arrivĂ©e Ă la confĂ©rence de Cali sans stratĂ©gie actualisĂ©e. Cependant, des progrès significatifs ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s depuis, et le pays espère prĂ©senter son plan lors du sommet de Rome. La participation active de la Belgique dans les discussions sur le financement de la biodiversitĂ© est essentielle, en particulier alors que le pays s’aligne avec d’autres nations sur des principes plus ambitieux.
Attaquer la crise climatique et de la biodiversité de front en 2025
Un avenir proche est engageant, surtout avec la COP30 sur le climat prévue en novembre 2025 au Brésil, où la protection des forêts tropicales sera au cœur des discussions. Cette rencontre est une opportunité pour renforcer les démarches visant à interconnecter la lutte contre la crise climatique et la préservation de la biodiversité.
Vous souhaitez en savoir plus sur l’histoire et les objectifs globaux de la Convention sur la diversitĂ© biologique ?
Le 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversitĂ©, qui s’est tenu Ă Cali, a posĂ© des bases importantes pour la conservation de notre planète, bien qu’il n’ait pas abouti Ă un accord final crucial. Cette confĂ©rence a mis en lumière la nĂ©cessitĂ© d’un financement accru pour la biodiversitĂ©, ainsi que l’importance de l’implication des peuples autochtones dans les dĂ©cisions Ă©cologiques.
À présent, alors que les discussions se poursuivent à Rome, il est impératif que les pays signataires trouvent un terrain d’entente pour mobiliser les ressources financières nécessaires afin d’atteindre les objectifs de l’accord de Kunming-Montréal. Le besoin d’éliminer les subventions nuisibles à la biodiversité est également crucial, avec des sommes estimées à 500 milliards de dollars par an à récupérer.
Les rĂ©sultats de cette rĂ©union pourraient dĂ©terminer l’avenir des efforts mondiaux pour sauver non seulement les espèces menacĂ©es, mais Ă©galement notre environnement dans son ensemble. Les discussions qui auront lieu Ă Rome reprĂ©sentent une occasion unique de transformer les engagements en actions concrètes. Les enjeux sont considĂ©rables et l’urgence d’agir ne peut ĂŞtre sous-estimĂ©e.