
Exploration approfondie de la convention des entreprises pour le climat – Quatrième session
EN BREF
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La Convention des entreprises pour le climat représente un effort essentiel pour inciter les organisations à prendre des mesures significatives face aux défis écologiques contemporains. Lors de sa quatrième session, qui s’est déroulée en novembre 2024 à Marseille, l’accent a été mis sur la définition de nouveaux indicateurs adaptés aux besoins spécifiques des entreprises engagées. Ce moment rassembleur vise non seulement à évaluer les progrès réalisés, mais également à tracer une feuille de route clairement orientée vers une transition vers un modèle économique régénératif et durable.

Convention des Entreprises pour le Climat : Bilan de notre 4ème session
La Convention des Entreprises pour le Climat (CEC) incarne un mouvement dynamique visant à transformer les pratiques commerciales des entreprises en réponse aux défis environnementaux et sociaux actuels. Lors de la quatrième session, tenue à Marseille les 7 et 8 novembre 2024, plus de 60 dirigeants d’organisations se sont réunis pour explorer de nouvelles voies vers une économie régénérative. Ce programme innovant, s’étendant sur six sessions réparties entre avril 2024 et février 2025, se conclura par une feuille de route régénérative qui mettra l’accent sur la nécessité urgente de réorienter les modèles d’affaires afin de garantir une coexistence harmonieuse avec le vivant.
Au cours de cette session, des ateliers ont permis aux participants de définir des indicateurs spécifiques liés à leurs activités, tout en se basant sur les attentes du Cap 2030. Les discussions ont mis en avant la valeur sociale et environnementale des entreprises, incitant ainsi chaque acteur à agir concrètement. Les témoignages d’anciens participants et d’experts ont enrichi les échanges, illustrant comment ces initiatives réussissent à baliser le chemin vers une transition éthique et responsable. Des exemples de réussite dans le domaine du tourisme durable ont été partagés, soulignant l’importance d’un engagement collectif pour préserver la biodiversité et limiter les impacts environnementaux des activités humaines.

Convention des Entreprises pour le Climat : Bilan de la Quatrième Session
Face aux défis environnementaux et aux attentes croissantes en matière de durabilité, l’OTM NCA a choisi d’intégrer le parcours d’accompagnement « CEC Provence Méditerranée 2024/2025 ». Ce programme a pour objectif de sensibiliser les dirigeants d’entreprise à leur impact sur le vivant et à la nécessité urgente d’adapter leur modèle économique pour préparer un avenir résilient. Ce parcours se compose de six sessions qui auront lieu entre avril 2024 et février 2025, culminant avec l’élaboration d’une « feuille de route à visée régénérative », visant à rediriger les pratiques des entreprises participant pour qu’elles prennent en compte les enjeux écologiques et sociaux.
Lors de ces sessions de travail, la quatrième, intitulée « Nouvelle Boussole », s’est tenue à Marseille les 7 et 8 novembre 2024. Elle a servi à définir des indicateurs spécifiques adaptés à chacune des 60 organisations engagées dans cette initiative, redéfinissant ces paramètres à l’aune des ambitions fixées par le Cap 2030, tout en intégrant des valeurs tant sociales qu’environnementales. Les discussions ont mis en exergue la nécessité de se distancier des modèles d’affaires classiques afin de privilégier des approches plus durables. En ce sens, des ateliers en petits groupes ont été organisés pour guider les participants vers la création de nouvelles stratégies favorisant la régénération des écosystèmes et la préservation des ressources naturelles.
Il est également important de noter que le tourisme, bien que souvent bénéfique pour les économies, se révèle être responsable d’une exploitation abusive des ressources et de la biodiversité. Dans cette perspective, le tourisme durable n’est plus une simple option, mais une responsabilité qui devrait être assumée par tous les professionnels du secteur. Alors que les émissions mondiales de CO2 continuent d‘augmenter d’un rythme de 1% par an alors qu’une baisse de 7,6% est nécessaire pour atteindre les objectifs des Accords de Paris, il est impératif que les entreprises fassent un tournant définitif. Cela implique non seulement d’identifier les impacts de leurs activités sur les milieux naturels et le vivant, mais aussi de se transformer vers un modèle d’affaires véritablement régénératif et porteur de sens.
Dans cette dynamique, le prochain sommet international « UNOC-3 », prévu à Nice en juin 2025, sera l’occasion de rassembler les dirigeants et gouvernements du monde entier autour des enjeux marins. Les thèmes abordés comprendront la conservation des écosystèmes marins, la réduction de la pollution plastique, et la gestion durable des ressources maritimes. Événements satellites tels que le One Ocean Science Congress renforceront cette initiative, mettant en avant l’importance d’un engagement collectif face aux urgences environnementales actuelles.

Convention des Entreprises pour le Climat : Bilan de la Quatrième Session
Nouveaux Indicateurs pour une Économie Régénérative
Dans un contexte mondial de changement climatique et d’urgence environnementale, la Convention des Entreprises pour le Climat (CEC) a pour objectif de transformer les modèles économiques en intégrant des pratiques durables. Ce parcours de transformation comprend six sessions de travail, dont la quatrième s’est tenue à Marseille. Cet événement a permis aux entreprises de redéfinir leurs indicateurs de performance à la lumière du Cap 2030 et des enjeux sociaux et environnementaux actuels.
Lors de cette session, les participants ont pu travailler en petits groupes pour construire une feuille de route régénérative, tout en prenant conscience des impacts de leurs activités sur les écosystèmes. Cet échange a permis de réfléchir à des solutions concrètes pour répondre aux défis environnementaux.
- Évaluer la valeur sociale et environnementale des actions menées par les entreprises.
- Développer des stratégies d’atténuation et d’adaptation face aux effets du changement climatique.
- Favoriser la coopération entre différents acteurs économiques pour une action collective.
- Mettre en place des indicatifs de performance qui prennent en compte la durabilité et la régénération des ressources.
Ces éléments sont cruciaux pour garantir une transformation réussie et adaptée aux enjeux du XXIe siècle. L’implication des dirigeants d’entreprises est essentielle pour que ces initiatives portent leurs fruits et pour susciter un véritable changement dans le secteur économique.
Retrouvez plus d’informations sur le parcours et les éléments clés à prendre en considération sur les liens suivants :
Pour un aperçu détaillé des sessions de la CEC, consultez ce parcours. Si vous êtes intéressé par la mobilisation des dirigeants, visitez ce site portant sur la CEC. Pour des informations sur la gestion de la biodiversité et le climat, consultez ce lien.
Engagements des Entreprises pour un Avenir Durable
Face aux enjeux environnementaux et sociaux croissants, de nombreuses entreprises, comme l’OTM NCA, s’engagent dans des parcours d’accompagnement tels que « CEC Provence Méditerranée 2024/2025 ». Ce programme a pour but d’aider les dirigeants à réaliser le lien vital entre leur modèle économique et la santé de notre planète, tout en les incitant à intégrer des transformations nécessaires pour un avenir durable.
Ce parcours se déploie à travers six sessions de travail entre avril 2024 et février 2025, menant à l’élaboration d’une « feuille de route régénérative » pour chaque participant. Des sessions pratiques, centrées sur la réelle définition d’indicateurs adaptés aux 60 organisations impliquées, soulignent l’importance de s’aligner avec les objectifs du Cap 2030, tenant compte des valeurs sociales et environnementales. L’événement qui a eu lieu à Marseille en novembre a permis de renforcer cette démarche grâce à des ateliers collaboratifs et des conférences plénières.
Les discussions ont mis l’accent sur la nécessité d’une transition vers un modèle d’affaires régénératif, d’autant plus crucial dans un contexte où les émissions mondiales de CO2 continuent d’augmenter. Avec le tourisme, qui, bien qu’étant bénéfique pour certains aspects économiques, est également responsable d’impacts significatifs sur les ressources naturelles et le climat, le chemin vers un tourisme durable devient une responsabilité collective incontournable.
Ainsi, la session de la Convention des Entreprises pour le Climat souligne la nécessité d’une prise de conscience pour réduire les impacts environnementaux. Des solutions doivent être mises en place pour atténuer les causes du changement climatique tout en apprenant à s’adapter aux conséquences déjà en cours. Une forte mobilisation est essentielle pour engager chaque acteur, transformant les entreprises afin qu’elles prennent conscience de leur rôle crucial dans la protection de notre planète.

Confrontés aux enjeux environnementaux, les participants de la Convention des entreprises pour le climat ont reconnu l’urgence de faire évoluer leur modèle économique vers des pratiques plus durables. La quatrième session, intitulée « Nouvelle Boussole », a permis de redéfinir des indicateurs spécifiques adaptés à chaque organisation, en intégrant des valeurs sociales et environnementales essentielles à la transition vers une économie regénérative.
Les ateliers et conférences ont encouragé les participants à réfléchir aux répercussions de leurs activités sur les écosystèmes et ont facilité des échanges enrichissants entre dirigeants d’entreprise et experts. Au travers de cette rencontre, les professionnels du tourisme, entre autres, ont été sensibilisés à la nécessité d’adopter des pratiques d’un tourisme durable responsable, intégrant davantage la préservation des ressources et la biodiversité.
Cette dynamique, si elle se consolide, pourrait non seulement transformer les modèles d’affaires, mais également générer un impact positif sur la lutte contre le changement climatique. L’année 2030 apparaît donc comme une échéance cruciale pour faire basculer nos systèmes économiques vers une réelle durabilité. Cela soulève des questions sur la volonté collective de s’engager dans cette voie de transformation, marquée par une collaboration accrue entre tous les acteurs de la société.